Ensuite elle se rendit au bureau du Commandant de groupement, � Isabelle se gara et descendit de sa voiture, elle se dirigea ensuite vers l'entr�e du palais. � GENDARME: -Non, ils sont d�bord�s, le Lieutenant, Platon et vous �tes attendus sur place, je suis d�sol� de vous g�cher la soir�e mon Capitaine... � PHILIPPE: -Vous pouvez, c'est pas votre faute, c'est o� ? Un seul.�, Isabelle faisait mine de garder la t�te froide, mais elle bouillonnait. � ISABELLE (ouvrant la porte): -Entre, je vais pas t'en parler sur le palier. � � VANNIER (serrant encore sa main autour de son cou): -C'est beau de voir la peur dans tes yeux...�. Elle d�cida d'une strat�gie en voyant que Roussillon �tait tout seul pr�s de la fen�tre. � HOMME: -Karine est morte, tu vas h�riter de sa fortune. � ISABELLE: Brrr... Tu penses � un serial killer ? � �PHILIPPE: -Allez, au boulot .Je veux l'assassin d'ici demain en garde � vue, il s'est pas question que cette enqu�te s'�ternise !�. J'ai pas vraiment appr�ci�. � ROUSSILLON (d�gageant une m�che de cheveux du front d'Isabelle): -Je tiens � toi... � �ROUSSILLON (am�rement): -C'est mieux, tu avais raison... J'aime H�l�ne.�. Je me d�p�cha de chasser cette affreuse pens�e de mon esprit et me concentra sur la fin de la messe. � �PHILIPPE: -Tu dois avoir raison. C'est pas de l'amour. Tu vois tr�s bien de quoi je parle. Donc, je penche pour la piste du fan mal �clair� sur son sujet. � �RIVIERE: -A peine plus que moi, non il est tr�s macho. � �PHILIPPE: -Le proc' ne m'a pas laiss� le choix, un serial killer �a fait peur au Palais. � ISABELLE: Tu m'as assez fait de mal, j'esp�re que tu n'en feras pas autant � Lyson. � �RIVIERE: -Vous �tiez o� ce matin mademoiselle de onze heures � midi ? � �PHILIPPE (�nerv�): -Isabelle, tu m'expliques ? Il le l�cha et attendit que ce jeune aspirant officier d�barrasse rapidement le plancher pour venir me voir. Non, impossible, elle aimait Philippe, mais pour combien de temps ? - Tu as int�r�t � te calmer, d�j� tu vas aller � la circulation pour la journ�e, et je te colle un avertissement pour ton comportement, le respect �a fait partie des codes de la gendarmerie. C'est pas possible ? Une heure plus tard, alors qu'ils d�naient tranquillement, Philippe posa sa fourchette. Commenter N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. Le petit morceau retombait sans cesse dans le saladier ce qui avait le don d'agacer Francis. � �PHILIPPE: -Isabelle, je suis inquiet pour toi, surtout par rapport � l'enqu�te... � �PHILIPPE: -Je ne veux pas que tu sois la prochaine cible du tueur ! Celui-ci n'eut pas d'autre choix que de partir. � LAURENCE: -Heureusement qu'on a pu se sauver avant se faire embarquer par les coll�gues de ton p�re. Il s'empressa de d�cacheter l'enveloppe. �La chaleur avait envahi Grasse en ce mois de juin, tant et si bien que les quelques amies de la maman de Patrick avaient sorti les ombrelles. Faut savoir ce qu'on veut mon Capitaine, on peut pas avoir plusieurs vies en m�me temps ! Pierre, quand � lui, ne s'attendait pas � ce qui allait lui arriver, il re�ut donc une lettre quelques jours plus tard venant du la hi�rarchie. � NICOLAS (souriant): -Oui, c'est quoi que tu voulais me dire ? C'�tait ce que je me disais quand je vis Platon, brandissant six petits sachets, en blouse blanche d�barquer dans le grand bureau, parlant avec un d�bit mitraillette: � Je regardai Rivi�re pour savoir ce qu'il pensait de la th�se de sa sup�rieure. C'est pas Roussillon qui a �t� enterr� hier mais Max Ferret, un innocent. � NICOLAS: -Oui, j'arrive dans ton �quipe aussi. � ISABELLE: -Pardonne-moi, j'aime que toi. � �ISABELLE: -Gendarmerie Nationale, bonjour, je suis le lieutenant Florent et mon adjoint l'adjudant Rivi�re, nous pouvons entrer ? Il fallait que ce couple reparte sur de bonnes bases. � �ISABELLE: -On va le boire chez moi, juste vous pouvez m'attendre deux secondes je dois m'occuper d'un petit probl�me. Katarina et Franck vivent depuis des années ensemble. � Comment annoncer quelque chose d'aussi triste � des enfants qui esp�raient revoir leur maman. A un d�tail pr�s, sur les lieux du crime, sous le corps de la derni�re victime Iphig�nie, Platon, notre technicien d'Investigations Criminelles a trouv� un porte-carte comme ceux des gendarmes. La musique commen�ait. Isabelle accompagna Roussillon en cellule. Je me souviens, j'avais compl�tement oubli� !�, � INCONNU: -Je vois, bon. � �Alors que Chlo� repartait voir ses amies en laissant la vaisselle dans l'�vier Isabelle prit la main de Philippe et la serra l�g�rement. D�m�nager ? rigola-t-elle. � VANNIER: -Tant pis, je m'en passerai. � �ISABELLE (surprise): -Ah il est...original ! � L'enqu�te sur les trottoirs des villes n'avaient rien donn�, aucune fille n'avait de lien avec un homme correspondant au signalement, ceci dit, elle ne pouvaient pas se souvenir de tous les hommes qui les payaient. H�l�ne retourna vers le percolateur afin de pr�parer les autres boissons.�, � Quelques dizaines de minutes plus tard.�. C'�tait romantique, il y avait des lampions, dont je ne me souviens plus la couleur, qui tamisaient d'une p�le lumi�re les murs des maisons et rendaient l'atmosph�re calme. N'avait-il pas confiance en elle ? � MADELEINE (souriante): -Ah c'est dommage, �a vous dirait qu'on se revoie ? � �RIVIERE: -Ouais, vous avez raison, c'est pas dr�le. � ISABELLE: -Alors l� Moisan, vous commencez assez mal, vous encha�nez les gaffes les unes apr�s les autres.�. Aucune d�co, rien, personne. � �VANNIER: -Vous semblez dire cela sans aucune �motion dans la voix, un ami tout de m�me suspect� de meurtre. Vous �tes s�re ? � �ISABELLE: -Madame Lemur, vous avez l'air de ne pas comprendre, vous t�moignez dans une enqu�te pour meurtre. � PHILIPPE (s�v�re): -A ce d�sastre de notre couple. Je voyais bien qu'elle me suppliait de lui r�pondre que si mais je ne parvenais pas � lui dire ce qu'elle aurait aim� entendre. Je vois surtout qu'on �tait l� il y a moins d'une heure, que je vous ai laiss� en plan ici, et cette fille je l'ai crois� sur la route en sortant du cimeti�re, donc vous n'avez pas d'alibi... � ROUSSILLON: -Et j'ai tout du coupable id�al... Vraiment merci Lieutenant ! L'eau d�borde ! � �ISABELLE (sourit puis baisse le regard): -Flatteur, merci... � �ISABELLE (intrigu�e): -Pourquoi donc ? J'�coutais les paroles du pr�tre, le discours de Patrick pour sa maman. � MADELEINE (souriante): -Il a quoi comme centres d'int�r�t ? � �ISABELLE: -D�trompes-toi. � �ISABELLE : -Par contre, �a n'a pas l'air d'�tre tr�s clair avec ses serveuses. � �ISABELLE (lass�e): -Mais enfin Moisan, on vous apprend quoi � l'�cole de police ? � � ISABELLE: -Je n'ai rien dit, je ne vous permet pas de penser pour moi. � VANNIER: -Tu perds tes moyens, l�, �je ne te permets pas. � ISABELLE: -Oui... essaya-t-elle de le rassurer. � ISABELLE: -Merci ma puce, sans toi je serai encore plus perdue. � ISABELLE: -Je voudrai �que tout redevienne comme avant avec Roussillon. � � RIVIERE: -Tu sais quoi sur Sophie Marco ? Je pensais avoir r�ussi � enfin construire quelque chose avec Philippe en deux ans. � �ISABELLE: -Rivi�re ! � PHILIPPE: -Je suis d�sol� mais oui, on a besoin de toi et Platon. � Isabelle vit qu'elle avait oubli� de cacher la rose que Vannier lui avait offerte mais elle s'aper�ut aussi que quelqu'un l'avait mise dans un soliflore. La gentillesse de son ton me laissai surprise. C'est juste un conseil. En effet, c'�tait en compagnie d'Alice Censier que le capitaine avait pass� son apr�s-midi. � ISABELLE: -Au fait, la c�r�monie... est le 27 Mai, mercredi prochain. Trop longtemps pour que ce soit r�parable.�. � ALICE CENSIER: -Effectivement, de plus, j'ai appel� toutes les agences d'escort girls du coin, personne n'a d'employ�e avec les yeux verts et les cheveux ch�tains. � ISABELLE (pleurant): -Ah, c'est vous Pierre, je ne vous avais pas entendu arriver... fit-elle d��ue, la mine triste. Toi aussi. � �MAX: -Alors pourquoi vous m'avez laiss� vous embrasser ? Une grosse pendule, elle aussi normande rythmait les recherches et c'en devenait pour le moins stressant, elle sonnait toutes les demi-heures selon la propri�taire. H�l�ne... � �ISABELLE (revenant vers ses hommes): -Messieurs, enqu�te de proximit�, et vous me r�cup�rez tous les clich�s pris par le radar qui est sur la route, il flashe dans les deux sens. � �ISABELLE (n'appr�ciant gu�re le reproche): -C'est pour �a que tu m'as demand� de t'�pouser ?�. GRASSE/ GENDARMERIE/ CASERNE/ PARTIE PRIVATIVE/ APPARTEMENT DES RIVIERE/ 20H00. Pierre s'interposa entre la balle et sa cible. � �CHLOE (regardant sa tutrice): -Oui, bon, ok, ce paquet est � moi, mais je te promets, je veux arr�ter... � �ISABELLE: -Et tu sais pas comment faire ? Elle n'avait aucune envie d'�tre accueillie par un pitbull en uniforme. Par contre, sachez que je n'ai jamais trich� sur les sentiments. � ISABELLE (prenant son arme): -Merci de me l'avoir confisqu�...�, � ROUSSILLON: -Ca me fait plaisir de te voir sourire un peu, tu as r�fl�chis ?�. Elle h�sita � ouvrir le courrier et se d�cida � rentrer le reposer chez elle sans lire la lettre. � La chanson changea, aux premi�res notes de la suivante Isabelle reconnut "Les mots bleus" de Christophe, elle resta avec Philippe tandis que quelques couples changeaient. demandais-je en retour. Tu as d'autres pistes ? � �MAX (� voix basse, l'embrassant): -Je pourrai passer des heures � vous embrasser ici sur votre canap� Isabelle... � �ISABELLE (d�boutonnant le premier bouton de la chemise grise de Max): -Vous avez quel �ge Max ? Il doit bien y avoir des fichiers, des listes puisqu'il faut des autorisations pour poss�der un tel arachnide.�. � �MOISAN: -Lieutenant ? Cette femme le troublait, elle avait les m�mes yeux qu'Isabelle dans une teinte de vert un peu plus intense. � �ISABELLE: -Je l'ai gifl� parce que c'est toi que j'aime... r�pondit-elle � mi-voix. Ca changerait tout, tu ne vas te laisser accuser d'un meurtre que n'as pas commis...�. � �Il m'ob�it faiblement. Une amie ? Ce qui l'inqui�tait plus, c'�tait que sa Clio en bout de course ne ferait pas long feu face � l'�norme Range Rover du tueur qui la poursuivrait. � �ISABELLE (prenant un stylo): -Un N.A.C. � VANNIER: -Mais vous avez quand m�me pris votre voiture pour la rejoindre, en cachette, � son mariage. � �RIVIERE: -Je pense qu'elle l'a aim�, ces questions sont-elles en rapport direct avec notre affaire ? Vous les trouvez comment ? � NICOLAS: -Tu as l'air triste, il lui est arriv� quelque chose ? Elle l'aime et lui aussi l'aime. Platon fit signe � Kremen qu'il �tait d�sol� pour lui. Pierre accompagnez-l�, Lestac emmenez monsieur au grand bureau. � �ISABELLE: -Oui, c'est gentil de te pr�occuper de moi comme �a... � �ROUSSILLON: -Tu as un mari pour �a non ? Elle lui d�signa la porte du regard mais fut interrompue par son portable qui sonna, elle ouvrit le message, elle n'en croyait pas ses yeux, c'�tait une photo de Philippe qui embrassait une femme. Comme si tu étais mort. me cria-t-elle. Mais Mon Dieu que ferait-elle sans l'immense Pierre Roussillon ?! � �FEMME (venant ouvrir la porte): -Bonjour, oui ? Lorsque qu'il nous a annonc� cela l'air grave, nous avons �t� submerg�s par l'impression que l'on ne reverrait pas Isabelle vivante. R�fl�chissez bien... Je vous laisse jusqu'� ce soir Kremen, sinon vous devrez vous faire excuser aupr�s d'Isabelle, et je serai l�, je ne pense pas qu'elle appr�cie trop votre liaison avec Alice Censier. � �ISABELLE: -Mon Capitaine, je peux vous voir deux secondes ? � �PHILIPPE: -Je vois bien que tu n'es pas avec moi... Ca ne va pas toi ? � PHILIPPE: -Tu comptes faire quoi pour son chantage � Vannier ? � �RIVIERE: -Enfin Isabelle, c'est un bar familial, pas une maison close ! demanda-t-il. Il ne pensait pas qu'un jour Pierre se livrerait comme �a dans une lettre d'amour � Isabelle. � MADELEINE: -Mes amants m'ont d�test�, mon mari m'a plaqu� pour une jeune de vingt ans de moins que lui... � ROUSSILLON: -Votre �poux est bien b�te de vous laisser ainsi ! Aussi malheureuse.Chlo� parlait � Isabelle mais celle-ci regardait au loin dans le vide, elle ne l'�coutait pas.. La jeune fille apporta un caf� � Isabelle, celle-ci lui r�pondit que c'�tait gentil mais qu'elle n'en voulait pas. Il n'y aura plus de mirage. Taisez-vous. � �ROUSSILLON (se retournant vers Isabelle): -Excusez-moi. � ISABELLE (mentant): -Le nouveau ? Isabelle r�unit ses hommes et le Capitaine Kremen dans le grand bureau afin de leur pr�senter leur nouvel recrue qui ne laissait visiblement pas les hommes indiff�rents. � Isabelle et ses coll�gues furent quelque peu surpris par ces aveux spontan�s, une fois rentr�s � la caserne Isabelle rentra chez elle alors que Rivi�re fermait le dossier apr�s avoir fait signer ses aveux � Alfred. Un caf� ? Elle n'insista donc pas. Garnier a bien r�ussi son plan. Sinon, j'h�siterai pas � dire tout ce que je sais. � PHILIPPE: -Ca veut dire que je suis aussi important que lui ? Tu aurais pu me le dire avant, que je m'habitue � l'id�e, alors toi mon fils, parti faire des �tudes d'informatique aux Etats-Unis, tu reviens ici pour devenir gendarme ? Je d�cidai de m'avancer au devant des journalistes qui se pr�cipit�rent vers moi: Assailli par les questions pi�ge des journaliste, je r�sumai la situation clairement dans ma t�te avant de r�pondre: � -A ce jour deux jeunes femmes ayant des similitudes physiques ont �t� tu�es, l'enqu�te est en cours mais ma brigade fait son maximum pour prot�ger les concitoyens; un important dispositif de gendarmerie est mis en place afin d'assurer la s�curit� des Grassois. Pierre avait bien �crit. � Trois heures plus tard vers 21 heures alors que l'orage approchait � grands pas et que notre �quipe cherchait toujours le tueur devant le panneau en li�ge et en r�-�pluchant pour la �ni�me fois le dossier, l'alerte qu'avait mis Isabelle sur son ordi pour signaler le portable de Casteau se mit � sonner. Pas ma Sophie, pas elle... pleurait-elle. Tu crois que �a m'amuse de sortir avec Vannier ? Dans la voiture Moisan chantonnait la chanson de Christophe "Aline": bien que le ciel s'assombrissait il continuait de chanter "Et j'ai cri� Aline pour qu'elle revienne" au grand d�sespoir d'Isabelle qui se d�cida � le stopper. � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � �Pierre". � ROUSSILLON (comprenant l'histoire, �nerv�): -Vous �tes vraiment un salaud Vannier, vous en avez profit�. � � ISABELLE: -Elle n'a jamais re�u la visite de quelqu'un ici ? � MADELEINE: -Elle t'as d�j� tromp�e avec lui c'est oblig�, j'ai vu comment elle le regardait, comme un ex qu'on a rel�gu� au dernier plan de sa vie parce qu'on s'aper�oit qu'il prend trop de place et qu'on a pas envie que notre mari le trouve. � Il lui tourne le dos et regarde la photo de l'�quipe accroch�e au mur, Il sortit de son bureau, la laissant l�, plant�e devant la fen�tre. On amena Roussillon dans mon bureau, oui, j'ai pr�f�r� lui �viter l'humiliation d'�tre interrog� dans le grand bureau. � PHILIPPE: -Oh Isabelle ! � �ISABELLE (s�v�re): -Bon mon Capitaine, pourquoi vous avez convoqu� toute l'�quipe ? Il passa r�cup�rer son arme, me remercia et partit voir son ami Platon � qui il devait une fi�re chandelle. � �MAX: -Si vous avez un probl�me r�glez-le avec moi. D'autres collaient des photos sur le nouveau tableau translucide, �crivaient dessus, sous les photos, au dessus, � c�t�, dessinaient des fl�ches, reliaient, effa�aient, recommen�aient. La phrase de l'enveloppe la troublait. � VANNIER (�nerv�): -Sort ta main de la poche de ton jean. � ISABELLE (dans ses papiers): -Lieutenant ! Elle avait tent� de l'appeler elle tombait directement sur sa messagerie, elle essaya de localiser son portable en vain puisqu'il �tait �teint, elle mit une alarme, nous serions pr�venus lorsque le portable de Cyril se rallumerait. me lan�a-t-elle en jouant avec ses clefs. � ISABELLE: -Il y a un probl�me mon Capitaine ? � ISABELLE (avec une tartine de pain/confiture): -C'est quoi tout ce boucan Philippe ? � �ISABELLE (sanglotant): -Mais comment... tu veux que je me calme... mon mari vient de me quitter... � �MAX: -Il va �se calmer, l� il va prendre l'air, dans quelques jours il te suppliera de pouvoir revenir. GRASSE/ GENDARMERIE/ CASERNE/ PARTIE PRIVATIVE/ APPARTEMENT D'ISABELLE/ 12H17.�. Cette route bord�e d'arbres et de paroi rocheuse serpentait dans la montagne, le d�but des Alpes, Elle d�testait ce genre de route, � la fatigue et au stress d'Isabelle vint s'ajouter l'�nervement. Et je pensais � une chose importante... Je t'aime. Je t'aime. � �ISABELLE: -Viens l� ma Chlo�... dit-elle en la serrant dans ses bras. �Elle prit la carte des boissons et regarda alors que le serveur arrivait pour prendre la commande. Ils mang�rent tous les trois.�. ROUSSILLON: Mais s'il ne se reconnecte pas ? J'parlerai pas aux flics. C'est tellement cru... � ISABELLE: Elle avait choisi de refuser ton aide, � mon avis elle allait rapidement arr�ter je pense, elle voulais tout envoyer balader, on a retrouv� son portable et r�ussi � le r�parer. Elle aimait Philippe. Elle se dit qu'elle avait fait le bon choix, elle regarda Philippe qui lui prit la main, les amis, la famille et les coll�gues applaudissaient. Sans doute encore cette fa�on de se rassurer. Elle l'embrassa et prit la passoire pour �goutter les p�tes. Un �clair fendit le ciel en deux. � HOMME: -Tout le monde dansait, et elle est tomb�e, c'est l� que j'ai vu le sang sur sa belle robe blanche, elle avait le regard vide, apeur� quand elle s'en ai aper�u, c'est l� qu'elle a vu le pic � viande enfonc� dans son �paule, elle a hurl�. � ISABELLE: -Oui, c'est la direction d�partementale de la gendarmerie qui veut cr�er une unit� de cybergendarmes. � �ISABELLE: -Merci, courage St�phane, on va venir prendre votre d�position, une derni�re chose, est-ce que Karine aurait pu avoir des ennemis ? � ISABELLE: -Lestac, c'est pas si simple, vous allez passer un sale quart d'heure quand il aura vu les infos, je peux vous le dire, alors vous rappelez les journalistes, vous leur dites d'annuler leur flash info. � ISABELLE: -Vous savez tr�s bien que je n'ai pas ses sentiments l� pour vous Roussillon. La visite sur la sc�ne de crime n'avait pas �t� tr�s concluante, Ni Platon ni le m�decin l�giste n'avaient constat� quoique ce soit d'anormal mis a part un impact de balle. Il se tenait debout sur la terrasse devant la porte fen�tre en chemise orange retrouss�e aux manches et en pantalons beige. � Ludovic Lestac sonna, M�lanie Silla ouvrit. � �VANNIER: -Si vous voulez... Elle l'aimait vraiment ? Les SDF leurs avaient appris que Sylvie dormait dans la rue depuis plus de deux mois, que pour gagner sa vie, elle chantait dans la rue et pour manger, elle volait sur le march�. Elle s'endormit donc pensant que le lendemain serait un jour meilleur. � ROUSSILLON: -Je n'ai pas tu� cette femme ! � �ISABELLE: -Je ne sais pas... Bon, sortez maintenant, de toutes fa�ons les hommes sont tous les m�mes, ils veulent tous la m�me chose. � ISABELLE: -Je peux te demander pourquoi ? Elle avait demand� � la m�re du mari� ce que portait ledit gendarme comme v�tements, elle lui avait r�pondu qu'il �tait en uniforme avec un �cusson de la r�gion.�.
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